mardi 11 mai 2010

Retour de Catalogne



Suite de mes élucubrations autour des taureaux roses avec un petit souvenir retrouvé au fond d'une poche de mon Denim. Un ticket d'attente de chez mon charcutier préféré à Llansa en Espagne, comme un petit hommage à cet artiste dont je vous avais parlé il y a quelques temps, Jordi, qui prend ces tickets pour des têtes de taureaux (voir un des articles précédant sur ce blog). Et puis, alors que j'étais assis sur une pierre, les pieds dans l'eau de la méditerrannée, mollements bercés par le doux clapotis de vaguelettes de ce début d'avril,adossé au mur de la maison de Salvador Dali à port Lligat, je lisais en m'imprégnant de la magie du lieu, quand me vint sous les yeux une citation du Maître en rapport avec ce blog et surtout faisant la même réflection que la première citation de Pablo Neruda qui ouvre ce blog(voir le tout premier article). Donc pour Dali,
ON NE PARVIENT A L'UNIVERSEL
QU'A PARTIR DE L'ULTRALOCAL !

1 commentaire:

  1. c'est surement qu'il en avait vu assez (de folies) pour apprécier sa "campagne"

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